J’ai beaucoup vu Bella Muerte d’Anne Victoria Val sur twitter à sa sortie, je l’ai d’ailleurs acheté lors d’une promo, mais je ne sais plus vraiment laquelle. Et puis j’ai laissé les mois passés sans jamais avoir envie de l’ouvrir et en l’oubliant. Cependant, je suis partie en vacances et j’avais envie de lire des livres différents de ce que j’avais sur ma liseuse et je me suis rappelé que Bella Muerte d’Anne Victoria Val trainait dans mon téléphone.

RESUME :

Elle a un an pour aimer. Elle a un an pour tuer. Sofia est froidement assassinée lors de la fête des Morts alors qu’elle est en visite dans son Mexique natal. Tandis que la vie s’échappe de son corps, elle est confrontée à la mort qui la métamorphose en une créature inconnue : une Bella Muerte. À partir de cet instant, Sofia a un an pour rencontrer l’amour véritable et le sacrifier en offrande au dieu des morts pour rester en vie. Mais elle n’a pas l’âme d’une meurtrière et se jure de ne pas tomber dans le piège de l’amour jusqu’à sa rencontre avec Milo. Un jeune homme mystérieux, adepte des sciences occultes et prêt à tout pour la conquérir. Sofia deviendra-t-elle une tueuse ou renoncera-t-elle à sa propre vie ?

MON AVIS :

J’aimais beaucoup la couverture quand j’ai acheté le roman, mais après l’avoir acheté je ne sais pas pourquoi j’ai trouvé que la couverture collait moins bien avec le livre que je venais de lire.

C’est une lecture que je vous conseille de lire en octobre ou vers l’automne pour plus coller au thème du livre, puisque le jour des Morts au Mexique est en novembre. Je l’ai lu en plein été sur la plage, mais ça va aussi, car il y a une grande place pour une histoire d’amour. Ça ne me dérange pas plus que ça puisque je lis aussi des histoires de zombie en été !

Je vous avoue que j’ai eu peur quand j’ai commencé le livre. Je me suis demandé si j’allais pouvoir le lire, car j’ai un problème avec la mort en général et j’en fais souvent d’horribles cauchemars et j’ai des angoisses. J’avais peur que ce livre me réveil mes angoisses et que je ne puisse plus dormir.

Ça n’a heureusement pas été le cas, alors oui la mort est présente tous le long du roman, elle pèse comme une épée de Damoclès au-dessus de Sophia et on parle énormément de cela. Cependant, les croyances mexicaines allègent cela d’un poids. Je ne m’y connais pas trop dans ce genre de croyance alors je ne pourrais pas vous affirmer l’exactitude de tout ce qui est raconté dans ce roman. J’ai trouvé que c’était plus doux et que la mort avait l’air plus agréable et plus belle vu de cette manière.

J’ai trouvé que c’était une bonne lecture, j’ai adoré le début l’autrice nous raconte plein de détails. On cherche un moyen avec elle de s’en sortir. J’ai moins aimé le milieu du roman, que j’ai trouvé un peu plus loin et avec moins d’action. Par contre, j’ai adoré la fin je n’ai pas venu venir la fin, je me suis dit, mais je suis passé à côté de ça comment ça se fait ?

J’ai trouvé qu’il y avait par contre beaucoup de répétitions, Sophia répétait certaines choses alors qu’elle l’avait déjà dit et qu’on sait ses choix depuis le début. Ça m’a un peu dérangé même si je comprends qu’elle ne les répète pas seulement pour nous, mais aussi pour s’en convaincre.

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Mise à part cela reste une très bonne lecture, si vous aimez la culture mexicaine que le jour des Morts ne vous fait pas peur et que vous aimez les histoires d’amour alors foncez ! Vous pouvez retrouver ce livre ici.

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